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1896, Natick, banlieue de Boston. À l’aube du 20e siècle, dans une ruelle sombre, vit un jeune indien avec sa mère et son père qu’il ne voit que trop rarement. Âgé d’à peine six ans, l’enfant se pense fou. Il voit des choses que personne ne voit, entend ce que personne n’entend. Délaissé par les adultes et pris en souffre-douleur par les autres enfants, leur rejet devient insupportable. Seul, l’enfant s’enferme alors dans un mutisme sourd. Et s’il n’était pas fou ?
Quel plaisir pour moi que de retrouver une nouvelle de la série « Sorciers », je vous ai d’ailleurs parlé des deux précédentes déjà. Celle-ci, si elle est écrite en troisième position, se situe en fait avant la toute première dont je vous ai parlé « Wakiza ».
Nous découvrons qui est celui qui fut le mentor de Wakiza, quelle fut sa jeunesse, sa vie, ses difficultés.
Encore une fois le thème de la différence est abordé sous plusieurs angles, le racisme, la peur d’une personne différente de nous, la difficulté de se faire une place lorsque l’on est différent, la folie.
Comme à chaque fois, je me suis sentie complètement embarquée dans cet univers rempli de magie, de doutes, d’espoir. La série « Sorciers » est le genre de série que j’aime énormément suivre, j’espère d’ailleurs qu’elle ne s’arrêtera pas de si tôt ☺
Un vrai plaisir également de retrouver la plume de Lionel, une plume qui, peu importe le récit, réussi à vous emmener là où elle le veut. A croire que la plume est aussi magique que les récits de la série « Sorciers », et perso j’adore !
Merci à Lionel pour sa confiance.